"Un homme n'est jamais tout à fait mort tant qu'il y a quelqu'un pour prononcer son nom"
Antoine de SAINT-EXUPÉRY
Il y a 100 ans… Janvier 1921

Chronique du XXe siècle – Édition Larousse
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Par Mireille HIRONDEAU, le dimanche 29 septembre 2019 La victoire
C’est le traité de Versailles, signé le 28 juin 1919, qui instaure la paix et met fin à la Première Guerre mondiale.
Journal La Charente du 30 juin 1919, AD16 cote 1per 44/65
Et à Angoulême … Les fêtes de la victoire et de la paix, journal La Charente 30 juin 1919
Samedi dans l’après-midi, le téléphone nous annonçait qu’à 3 heures ½ la
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Par Mireille HIRONDEAU, le vendredi 13 septembre 2019 Les visages défigurés de la Grande Guerre Les « gueules cassées »
Aucun des soldats engagés dans la Première Guerre mondiale ne revint indemne : le traumatisme fut intense pour les corps comme pour les esprits.
Parmi les millions de blessés physiques, certains ne pouvaient même plus être reconnus par leurs proches, tant leurs visages étaient défigurés.
L’expression « gueules cassées » a été inventée par le colonel Picot,
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Par Mireille HIRONDEAU, le dimanche 1 septembre 2019 L’arrivée de blessés en Charente
L’ouverture d’hôpitaux temporaires en Charente Journal La Charente du samedi 15 août 1914, AD16 cote 1per 44/59 :
Angoulême : « …L’hôpital du Collège de Jeunes Filles comptera 160 lits de blessés, plus 30 lits d’infirmiers. Bien qu’il soit une entreprise militaire, le matériel de toutes sortes, le linge nécessaire reste à la charge de l’initiative privée. Des dons très généreux en argent, en
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Par Mireille HIRONDEAU, le dimanche 25 août 2019 14-18 fut un véritable massacre, il fallut trouver de la place, beaucoup de places, pour soigner les blessés et laisser se rétablir les convalescents et les infirmes.
Le prix de la guerre
Avec la Grande Guerre, pour la première fois dans l’Histoire de l’humanité, des peuples entiers ont été entraînés au combat par des généraux peu soucieux du sang versé.
Le conflit a connu les excès habituels à toutes
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Par Mireille HIRONDEAU, le dimanche 25 novembre 2018 Les journées de solidarité
Dès août 1914, dans l’optique d’une guerre courte, une culture de guerre de développe. Tous les moyens, y compris pédagogiques, sont utilisés pour sensibiliser les enfants et, à travers eux, leur famille, la population.
Pendant le conflit, des journées de solidarité ont été instituées pour venir en aide aux combattants, aux victimes et aux familles.
A la rentrée 1915, le ministère des Finances rédige
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Par Mireille HIRONDEAU, le dimanche 18 novembre 2018 Les écoliers employés au service de l’Etat
Le ramassage des marrons d’inde et des châtaignes est organisé par le service de la main-d’œuvre scolaire du ministère de l’Agriculture en 1917.
Marrons et châtaignes doivent remplacer le maïs et le riz, plus utiles à l’alimentation, pour « fabriquer, dans les distilleries contrôlées par les Services des Poudres et de l’Aéronautique, de l’alcool et de l’acétone, produits indispensables à la Défense Nationale
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